Après la porte d’entrée de l’Iran (Tabriz), les rizières du bord de la mer Caspienne la capital poussiéreuse, mais branchée, Téhéran, nous faisons une halte vers le “joyau” perse, Esfahan, capitale Seljukide (descendant de l’empire Perse) 1000 ans après la naissance du Christ qui connut son heure de gloire vers l’an 1’500, sous le règne Safavid (3ème, et dernier, Empire Perse) de Shah Abbas.
Esfahan, de part ses beautés, la finesse de son architecture, la grandeur de sa place Naqsh-e-Jahan et la fraîcheur de ses nombreux jardins, reçut, au XVIè siècle, le surnom d’Esfahan nesf-e jahan (Esfahan is half of the world). La rime en farsi explique également cette métaphore à faire pâlir la Grande Pomme, la Ville Lumière ou encore la Ville du soleil (Sierre, pour ceux qui ne connaissent pas encore…).
Esfahan, comme ont pu l’être à une époque Rome, Athènes ou Istanbul, fut le reflet de l’humanité mise au service du raffinement et de la splendeur.
C’est un vrai plaisir de vous lire sur un ipad2….
Eh !
N’ oubliez pas Genève dans votre inventaire, Genève poubelle de la suisse selon Bernie…
Amusez vous bien les coquins de vacancier !